09 / 2010
Nous faisons le constat que nous vivons dans un monde où les uns gèrent le superflu, alors que d’autres vivent dans l’exclusion et la précarité.
Face à ce constat, nous estimons qu’il ne s’agit pas de se contenter de faire la charité, de se pencher sur le malheur des autres, mais de les aider à se relever, à se prendre en charge.
C’est à partir de cette base, qu’avec nos moyens, nos possibilités, nos limites, nous lions constamment réflexion et expérimentation. Et c’est ainsi :
- que nous avons lancé des expérimentations diverses ;
- que nous sommes en contact avec des actions menées dans l’espace transfrontalier et ailleurs;
- que nous sommes en train de mettre en place un réseau de transformation sociale et économique, en liant les expériences les unes aux autres. Il s’agit d’une démarche somme toute logique, imprégnée de bon sens et de conviction forte, qui nous permet d’être en mesure de présenter des fiches d’expériences diverses et variées, pour démontrer concrètement qu’au-delà des frontières, il y a des femmes et des hommes qui ont fait le choix de se serrer les coudes au lieu d’en jouer.
A Bâle, des pratiques d’agriculture urbaine à la portée de tous